Obstruction et acharnement administratifs perdurent à l’encontre des sans-papiers et des étudiants étrangers. Les réseaux RESF  (Education sans Frontière) et RUSF (Universités sans Frontière) poursuivent leurs actions, sur Clermont notamment. Deux nouvelles pétitions de soutien viennent d’être lancées.

Naouraz s’est vue refuser la prolongation de son titre de séjour et vient de recevoir un obligation de quitter le territoire (OQTF). On lui reproche d’être passée d’un cursus d’architecture à des études d’aménagement du territoire. Pour la soutenir, RUSF lance une pétition à signer ICI

Katia est venue à Clermont-Ferrand  car le cursus universitaire (AES) qu’elle suivait à Bordeaux y a été supprimée. Elle a donc pu s’inscrire à l’Université de Clermont où cette fillière existe… mais le Préfet refuse de lui accorder un titre de séjour.
Pour aider Katia, une pétition est à signer ICI

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Par ailleurs, n’oublions pas les autres étudiants clermontois menacés d’expulsion pour qui RUSF a déjà lancé des pétitions et dont la situation ne s’arrange pas malgré les promesses du nouveau gouvernement de mieux considérer les étudiants étrangers :

– Abdelhaq, à qui un titre de séjour est refusé au motif de « manque de sérieux dans ses études« , alors qu’il est en master 2 après avoir validé son master 1 l’an passé. Signer ICI

– Aljilani Arbida, lybien qui vit depuis plusieurs années en France avec sa femmes et ses enfants nés en France où ils sont scolarisés, mais à qui on a reproché un changement de cursus universitaire, puis un retard dans sa demande, et de ce fait la prolongation de son titre de séjour lui est refusée. Signer ICI