La crise écologique commence tout juste à bouleverser nos vies. Face à l’immense changement qui s’amorce, les écologistes ne manqueront pas les rendez-vous électoraux de 2022 car nous avons besoin que l’État apporte aux territoires les outils nécessaires à une transition fondée sur le triptyque « Protéger, Réparer, Préparer ». Rappelons qu’à l’échelle mondiale, 70 % des émissions de gaz à effet de serre sont dues aux villes et que leurs leviers d’actions seront potentiellement immenses grâce à une présidence écologiste :

· sur la protection de nos biens communs tels que l’eau, l’air, les sols, la biodiversité : nous accentuerons la protection des espaces agricoles et naturels et le déploiement de productions vivrières distribuées en circuits-courts ;

· sur le duo complémentaire sobriété et efficacité énergétiques : nous organiserons des filières de production locale d’énergies renouvelables ainsi qu’une politique de sobriété énergétique du bâti, de la mobilité ou de l’éclairage ;

· sur la protection des plus vulnérables : nous agirons pour un accès à un logement abordable pour tou·te·s, pour la mise en place d’une tarification progressive et solidaire de l’eau, ou encore d’une sécurité sociale de l’alimentation.

De nombreuses solutions émergent à l’échelle locale par l’intelligence des citoyen·ne·s. Appuyons-nous sur ces formidables ressources pour amplifier la dynamique en proposant de nouveaux outils de revitalisation de la participation citoyenne.

Alors en avril et en juin aux urnes citoyen·ne·s ! Les enjeux sont immenses mais la volonté et l’ambition des écologistes sauront guider notre pays vers un nouveau contrat social adapté aux enjeux de son temps comme aux besoins de chacun·e.

Anne-Laure Stanislas, Nicolas Bonnet

Co-président·e·s